vendredi 23 décembre 2011

Bouchées à l'oignon et au fromage






Les Fêtes sont souvent l'occasion de découvrir de nouveaux produits comme ce vin apéritif de tomate produit ici, au Québec, par la maison Domaine de la Vallée du Bras de Baie Saint-Paul.

Est-ce que ce vin goûte la tomate, vous demandez-vous? Eh bien non! Je vous dirais d'abord que c'est un apéritif offert en deux versions : moelleux ou sec. J'ajouterais ensuite qu'il fait du bien par où il passe (excusez-la!) avec son taux de 18% d'alcool. Enfin, je terminerais en ajoutant que pour en savoir plus long, la meilleure façon est d'y goûter, car franchement je n'ai pas de comparatif à suggérer. Pour en connaître un peu plus sur ce produit unique au monde (eh! oui!), je vous invite à cliquer ici.

Et pour accompagner ce vin apéritif qui se laisse boire avec plaisir, je vous propose de petites bouchées apéritives très faciles à préparer. De la mie de pain taillée avec un emporte-pièce de quelques centimètres (j'utilise une flûte à champagne), un peu de fromage qui ne coule pas trop lorsqu'il est chauffé, une rondelle d'oignon tranchée mince et une noisette de mayonnaise. On dépose les bouchées sur une plaque allant au four et on cuit une dizaine de minutes à 400 degrés F (200 degrés C). Simple et efficace! Ces petites bouchées se marient aussi très bien avec le champagne!

Joyeuses Fêtes gourmandes!

Lou

samedi 17 décembre 2011

Muffins aux canneberges et aux amandes


 À ce temps-ci de l’année, on aime cuisiner la canneberge. On la retrouve fréquemment à nos tables en gelée ou en confit pour accompagner la traditionnelle dinde de Noël. Mais plusieurs autres recettes se prêtent très bien à l’utilisation de ce petit fruit, dont les muffins.

La recette de muffins que je vous propose aujourd’hui a été empruntée à Caroline du blog La tête dans le chaudron. Débordante d’enthousiasme face à leur goût savoureux, elle m’a convaincue de les cuisiner avant même que je me lance dans la découverte et l’essai des recettes d’un nouveau livre que je viens d’acquérir et dont je vous reparlerai en janvier: Rouge canneberge.

Ces muffins se sont avérés absolument délicieux et d’un équilibre parfait entre le goût acidulé de la canneberge et la douceur du bon goût d’amande et de beurre qui s’en dégagent. Je vous les recommande fortement!




Les canneberges achetées déjà congelées gardent très bien leur forme lors de la congélation. On peut les ajouter congelées à la pâte à muffins.

Muffins aux canneberges et aux amandes
Pour 12 muffins
1 1/2 tasse (200 g) de farine
1 c. à soupe (15 ml) de poudre à pâte (levure chimique)
1 pincée de sel
1/2 tasse (100 g) de sucre
1/2 tasse (60 g) de poudre d'amande
1 tasse (90 g) de canneberges fraîches ou congelées
2 gros oeufs
1 tasse (250 ml) de babeurre
6 c. à soupe (90 g) de beurre fondu
2 c. à soupe (30 ml) d'Amaretto
sucre de canne

Préchauffer le four à 400 degrés F (200 degrés C). Chemiser de caissettes en papier, un moule à muffins de 12 empreintes. Réserver.

Dans un saladier, combiner la farine, la poudre à pâte, la pincée de sel, le sucre et la poudre d'amande. Ajouter les canneberges et mélanger délicatement afin que les fruits soient juste enrobés.

Dans un autre saladier, mélanger le babeurre, les oeufs, l'Amaretto et le beurre fondu jusqu'à ce que le mélange soit bien homogène. Verser la préparation dans le précédent mélange et mélanger délicatement, jusqu'à ce qu'on ne voit plus d'ingrédients secs, mais sans plus.

Séparer la pâte dans les caissettes préparées. La pâte remplira bien les caissettes, mais ne coulera pas lors de la cuisson. Saupoudrer de sucre de canne.

Enfourner sur la grille du milieu pour 20 minutes ou jusqu'à ce qu'un cure-dent inséré au centre des muffins en ressorte propre.

Sortir du four et transférer sur une grille de refroidissement.

mercredi 14 décembre 2011

Salade de quinoa des grands jours


Grâce à la recette que je vous propose aujourd’hui, il est possible d’offrir à vos convives le quinoa paré de ses plus beaux atours!

Plutôt habitués à déguster le quinoa dans des plats rustiques, on a la preuve ici qu’il peut flirter avec la gastronomie. En effet, cette salade de quinoa aux petits légumes, aux raisins secs, parfumée à la menthe, au citron et à l’orange bénéficie d’un habillage savoureux de saumon fumé et de crevettes nordiques!

Mon inspiration provient de Jérôme Ferrer qui sert une recette semblable à la table du Birks Café. D’ailleurs, dans son plus récent livre, Mes restos, mes recettes : du rêve à la réalité, le chef émérite présente cette entrée à laquelle j’ai opéré quelques petites modifications, comme celles de remplacer la branche de céleri par des tomates cerises et aussi d’ajouter quelques gouttes de sauce de style Tabasco, histoire de bien relever le tout, car la salade de Jérôme Ferrer ne contient ni ail, ni ciboulette et ni oignon haché. J’ai de plus ajouté un socle de crevettes nordiques.

Cette entrée rafraîchissante que vous pourrez préparer la veille de votre réception a toutes les chances de produire beaucoup d’effet à votre table!







La salade de quinoa avant d'avoir été déposée dans l'emporte-pièce sur les crevettes.

Salade de quinoa des grands jours
6 portions

La salade :
1 tasse (170 g) de quinoa blanc biologique
1/2 tasse (70 g) de raisins de Corinthe séchés (j’ai employé des raisins Sultana)
1 concombre libanais pas trop petit, pelé, épépiné et haché finement
1 carotte en juliennes (utiliser la mandoline) hachées finement
6 à 8 tomates cerises hachées finement
1/2 poivron orange haché finement
1/2 poivron jaune haché finement
1 poignée (environ le ¼ d’une botte) de persil haché finement
4 grosses feuilles de menthe (ou plus) hachées finement
1 1/2 c. à soupe de jus de citron
1 c. à soupe de vinaigre de riz (ajout que j'ai fait)
1 c. à thé de zeste d’orange haché finement (mais pas trop)
1/3 tasse (80 ml) d’huile d’olive
quelques gouttes de sauce piquante genre Tabasco
sel et poivre du moulin

Cuire le quinoa selon les instructions inscrites sur l’emballage. Lorsqu’il est cuit, le déposer dans une assiette et avec une fourchette bien détacher les graines. Réserver.

Dans un saladier, déposer le quinoa tiédi et tous les ingrédients de la salade. Bien remuer. Réfrigérer jusqu’à l’usage.

Le montage :
800 g de crevettes nordiques fraîches ou décongelées
140 g de saumon fumé Sockeye
zestes de citron
quelques feuilles de mâche
huile d’olive
vinaigre balsamique

Dans les assiettes de service individuelles, déposer un emporte-pièce circulaire de 7,5 cm de diamètre. Tapisser le fond avec des crevettes. Presser avec le dos d’une cuillère. Ajouter la salade de quinoa jusqu’au bord. Presser encore. Terminer en superposant de fines tranches de saumon fumé et bien lisser le saumon avec les doigts. Retirer l’emporte-pièce. Garnir avec des zestes de citron et des feuilles de mâches. Verser un peu d’huile d’olive et de vinaigre balsamique dans l’assiette et sur la verdure. Servir.

samedi 10 décembre 2011

Pizza au chorizo et aux coeurs d'artichaut


 Souvent le vendredi, chez nous, c’est pizza!

Je ne suis pas originale! C’est comme ça dans plusieurs familles, ici et ailleurs, mais au lieu de la «caller», comme on dit en bon québécois, je la cuisine.

Pour me faciliter la tâche, c’est vendredi après tout, j’aime bien acheter ma pâte toute faite chez l’Italien. Mon Italien à moi, c’est Milano, boulevard Saint-Laurent à Montréal.

Après m’être battue un tout petit peu avec cette pâte authentique pour lui donner la forme que je souhaite, chaque semaine, j’improvise pour la garnir avec ce que j’ai dans le frigo ou dans l’armoire!

Comme l’hiver commence lentement à s’installer, ce vendredi, j’ai eu le goût d’une pizza qui a du chien, une pizza soutenante (roborative, comme diraient les Français!). Voici les produits principaux qui m’ont été inspirés par la saison : échalote sèche, chorizo, mozzarella, coeurs d'artichauts marinés et sarriette séchée, herbe qu’on aime retrouver dans la tourtière.

Et hop pour quelques photos prises sous la hotte du poêle qui rendent mon chorizo plutôt rosé!!! L’hiver ce n’est pas seulement l’absence de lumière, mais c’est aussi toute la beauté qu’il laisse échapper comme en témoigne la dernière photo, un tableau du peintre québécois Armand Tatossian.






Les rues de Montréal ressembleront bientôt à cela, lors de la première tempête de neige. Les escaliers extérieurs caractérisent l'architecture de certaines maisons de Montréal construites au siècle dernier. Oeuvre de Armand Tatossian.

Pizza au chorizo et aux coeurs d'artichaut
pâte à pizza fraîche
huile d'olive
sauce à pizza aux tomates
1 grosse échalote sèche hachée
environ 150 g de fromage mozzarella râpé
chorizo pelé et tranché finement
un petit pot de coeurs d'artichaut dans l'huile, égouttés et délicatement essorés dans un essuie-tout
un peu de sarriette séchée
poivre du moulin
quelques gouttes d'huile d'olive
basilic frais grossièrement haché en décoration

Sur un plan de travail enfariné, abaisser la pâte à pizza. Déposer la pâte sur une plaque préalablement graissée avec de l'huile d'olive et la rouler sur elle-même pour façonner le bord de la croûte.

Étendre la sauce aux tomates et tous les autres ingrédients en respectant l'ordre proposé dans la liste ci-dessus. Terminer en répandant quelques gouttes d'huile d'olive ici et là sur la pizza. Avec un pinceau, appliquer de l'huile d'olive sur le bord de la pizza.

Enfourner dans un four préchauffé à 500 degrés F (260 degrés C) et cuire 7 minutes. Ouvrir le four et avec une fourchette crever les bulles qui se sont peut-être formées sur la surface de la pizza. Poursuivre la cuisson encore 2 minutes ou jusqu'à ce que le dessous de la pâte soit légèrement doré.

À la sortie du four, garnir la pizza de basilic frais grossièrement haché. Servir.

mardi 6 décembre 2011

Poulet Marbella


Comme idée de plat principal pour une de vos réceptions du temps des Fêtes, je vous propose cette casserole qui aura l’avantage non seulement de surprendre et de régaler vos invités , mais aussi de vous libérer en vous permettant d’être au salon avec eux, car ce plat se prépare à l’avance.

Cette recette conviviale, je la tiens de Marie-Claude de La Cookette qui l’a empruntée à Josée Di Stasio. Dans sa recette, Josée Di Stasio propose plusieurs façons de cuisiner ce plat. On peut employer la découpe de poulet qui nous plaît et parfumer avec nos épices préférées que ce soit du thym, des herbes de Provence ou du quatre-épices aussi appelé poivre de la Jamaïque. La recette d’aujourd’hui fait donc état des choix que j’ai posés. Si vous voulez consulter la recette originale, c’est par ici.

Les hauts de cuisse sur os, débarrassés de leur peau, ont eu ma préférence quand est venu le temps de choisir le poulet. La présence de fruits séchés dans la casserole m’a incitée à employer le poivre de la Jamaïque comme épice principale. J’ai de plus choisi d’intégrer des olives farcies à la préparation. La moitié des olives l’étant au citron, pour l’acidité et l’autre moitié au piment Jalapeno, pour le piquant.

Résultat : un plat de poulet sucré-salé ou aigre-doux où le sucré est assuré par l’apport des fruits séchés, du miel et de la cassonade, le salé par les olives, le bouillon de poulet et le poulet lui-même, l’acidité par le citron des olives, le vinaigre de cidre et le vinaigre de Xérès.

Au départ, j’ai voulu accompagner ce plat de couscous et d’un légume vert. Mais je me suis ravisée au dernier moment. Ce plat n’avait besoin comme accompagnement que d’une semoule bien réalisée.

Ce poulet Mirabella a fait un malheur à ma table! Cette savoureuse recette est en passe de devenir un classique dans ma famille.






Le poulet dans sa marinade.


Poulet Marbella
4 à 6 portions

Le poulet et sa marinade :
12 hauts de cuisse de poulet, sur os, la peau enlevée
1/4 tasse (60 ml) d’huile d’olive
1/4 tasse (60 ml) de miel
1/4 tasse (40 g) de cassonade (vergeoise)
1/6 tasse (40 ml) de vinaigre de cidre
1/6 tasse (40 ml) de vinaigre de Xérès
1 tasses (250 ml) de bouillon de poulet
1 c. à thé comble d’ail haché
1 c. à thé de poivre de la Jamaïque moulu (j’ai moulu moi-même les graines)
2 feuilles de laurier séchées coupées en deux
1 conserve (200 g) d’olives vertes Crespo farcies au citron, égouttées
1 conserve (200 g) d’olives vertes Crespo farcies au piment Jalapeno, égouttées
1/2 tasse (75 g) d’abricots séchés laissés entiers
1/2 tasse (75 g) de figues séchées coupées en deux ou en trois

L'accompagnement :
couscous moyen cuit selon les indications du fabricant

Mélanger le poulet et tous les ingrédients qui constituent la marinade dans un très grand saladier, même les olives égouttées et les fruits séchés. Couvrir avec un film alimentaire et laisser mariner au réfrigérateur pendant 4 heures.

Préchauffer le four à 190 °C (375 °F).

Retirer les hauts de cuisses de la marinade, les essorer avec un essuie-tout et les déposer dans une assiette. Les faire saisir dans une poêle (avec un peu d’huile d’olive), 6 hauts de cuisse à la fois. Lorsque le poulet a pris une belle couleur dorée le déposer dans une cocotte genre Le Creuset. Verser dans la cocotte la marinade qui contient déjà tous les autres ingrédients, couvrir et cuire au four, 40 à 45 minutes, ou jusqu’à ce que le poulet soit tendre. Servir sur un lit de couscous.

Merci Marie-Claude!

jeudi 1 décembre 2011

4e Salon du blog culinaire à Soissons!

Le 4e Salon du blog culinaire s’est tenu en France, les 19 et 20 novembre dernier! Un rêve enfin réalisé, car j’ai eu la chance d’y participer!

Ce week-end a donné l’occasion à 450 blogueurs venus de France, de Belgique, de Suisse, du Danemark et du Québec de se réunir grâce à l’organisation parfaitement huilée du chef Damien et de son équipe de 750 grammes. Résultats : des rencontres fabuleuses, des dégustations savoureuses, beaucoup d’énergie dans l’air, d’échanges et de convivialité. Du plaisir, que du plaisir!

En participant à ce salon tenu au lycée hôtelier Le Corbusier qui a pignon sur rue à Soissons, une jolie ville de Picardie située à 110 kilomètre au nord-est de Paris, mon intention était non seulement de rencontrer plusieurs blogueuses que je connaissais déjà, mais aussi d'en découvrir de nouvelles.

Mission accomplie par l’entremise de ma copine Patricia qui habite Dieppe en Normandie et qui est la créatrice du blog La Table de Pénélope! Grâce à son dynamisme et à sa bonne humeur communicative, j’ai fait de nouvelles rencontres qui m’ont ravie et avec qui j’ai bavardé, bien ri, bien mangé, bu du bon vin français et même dansé!

Bravo aux copines qui ont réalisé des démonstrations culinaires! C’est quand même différent de cuisiner seule ou à deux dans sa propre cuisine que de le faire devant plusieurs personnes qui vous regardent vous exécuter!!! Mais l’organisation avait pensé à tout : des professeurs du lycée ou des étudiants agissant comme commis ont été mis à la disposition des personnes qui faisaient une démonstration afin de les aider durant son déroulement!

Pendant le Salon, de beaux buffets délicieux et variés ont été offerts par 750 grammes aux participants inscrits, sauf pour le repas du samedi midi qui était constitué d’un potluck auquel contribuait chaque blogueuse en apportant de la maison un plat reflétant sa région et une bouteille de vin. Une belle idée qui nous a permis de faire des découvertes savoureuses. Le service, lors de ces buffets chauds et froids était assuré par les élèves du lycée. On peut présumer, sans trop se tromper, qu’ils ont également participé à la confection de la majorité des bons plats qui ont été fort appréciés. Bravo à eux!

Chef Damien, chef Christophe et leur équipe de 750 grammes ont l’intention, semble-t-il, d’organiser un Salon du blog culinaire au Québec en 2013. D’ici là, deux autres salons sont au calendrier : celui de Bruxelles au printemps prochain et celui de Soissons en novembre 2012!

Est-ce que ça vaut la peine d’aller en France et en Belgique fréquenter les Salons de 750 grammes si vous avez un blog culinaire? Oui, oh! que oui! C’est une expérience formidable, plus sociale que culinaire, il faut bien le dire, car comme la plupart des démonstrations ont lieu en même temps, il est par le fait même impossible d’assister à toutes. Il faut souvent faire des choix déchirants, mais on a toujours le loisir de se promener de salle en salle et de découvrir ce qui est proposé, en ayant toutefois le sentiment d’avoir manqué quelque chose d’intéressant, ailleurs!

Ce que j'aimerais aller au Salon de Bruxelles en juin! Oups! le printemps risque d'arriver bien vite! Et si j'en faisais la demande au Père Noël! On ne sait jamais!


Caro du blog CLquipopotte, aux côtés de sa fille Zoé et aidée par le chef professeur Jérôme prépare sous nos yeux un soufflé au Maroilles, aux poires et aux spéculoos que j'ai eu la chance de déguster et qui s'est avéré délicieux! En avant-plan à gauche, Patricia s'apprête à prendre une photo. Coquette comme toujours, elle a même pensé marier la couleur de son bracelet avec celle du tablier vert remis par 750 grammes à chaque participante. Les courageuses qui feront une démonstration arboreront, quant à elles, un tablier rose.


Juste en face de Caro, Cricri du blog Les petites douceurs de Cricri travaille aussi le Mariolles en proposant un Oeuf de caille cocotte au Maroilles et aux crevettes grises. 


Nadji du blog Saveurs et Gourmandises est presque en état de choc en humant le Maroilles lors de sa découpe. Parce qu'il faut dire que ce fromage est très odorant, pour ne pas dire tout à fait puant. J'ai même entendu des filles du Nord de la France, donc des habituées de ce fromage, dire qu'elles ne pouvaient le manger cru; cuit par contre, elles le trouvent délicieux! Cela tombe bien parce que c'est ainsi que Cricri le propose en cocotte.


Voici le plat de Cricri une fois terminé. Délicieux!



Remise des effluves de Maroilles, Nadji prend la pose aux côtés de Caro. À gauche, on aperçoit Laetitia du blog CduBeau  qui a un talent exceptionnel en photo culinaire!



Mais qui est donc cet homme? Serait-ce celui qu'on a surnommé le cliqueur fou?



Nathalie du blog Itinéraires gourmandes d'une amoureuse des desserts  aux côtés de Mam'Zelle CupCake, toute deux du Québec, ont fait une démonstration où le sucré était à l'honneur, bien entendu!  Mam'Zelle CupCake porte un chapeau en fourrure de castor, histoire d'être raccord avec la recette proposée : des queues de castor. Pour connaître la recette de cette pâtisserie, c'est par ici! Bravo les filles!


Anick, québécoise d'origine et qui n'a pas du tout perdu son accent, habite la France depuis plusieurs années. «Qui prend mari, prend pays», dit le dicton! Après avoir séjourné un bon bout de temps à Marseille, elle et son conjoint résident maintenant en Alsace depuis septembre.
En démonstration, Anick a présenté sa recette gagnante au concours Glamour! Pour connaître cette recette et sa petite histoire, c'est par ici.

Pour une personne comme moi qui adoooore la betterave rouge cuisinée de mille et une façons, je suis tombée complètement sous le charme du Gaspacho de betteraves aux oranges sanguines, et son pesto de roquette aux noisettes et tome de brebis, ses chips de betterave et germes de roquette réalisé par Anick!


Michelle, en avant-plan, du blog Croquant, Fondant et Gourmand, secondée par Laurence, sa cousine, et un élève du lycée a démontré une véritable habileté en concoctant sous nos yeux des Financiers pomme-noisette et sa sauce caramel au beurre salé. J'ai eu la chance d'y goûter et je peux vous assurer que c'est un véritable bonheur en bouche! Pour avoir la recette, il faut cliquer ici.


Depuis les débuts du Salon, il y a 4 ans, Benoît Molin, bien connu grâce à ses nombreuses émissions télés, dont Les desserts de Benoît et ses livres de recettes officie à titre de parrain du salon. Toujours souriant, il se promène de démonstration en démonstration prodiguant ses conseils et  techniques aux blogueuses ou blogueurs (oui, il y en a quelques-uns!) en action. On le voit ici en compagnie de Patricia.



J'ai eu la chance, moi aussi, d'être prise en photo aux côtés de Benoît Molin. Merci Phil pour cette jolie photo!


Zoé, charmante comme tout, du blog Zoun cuisine qui fréquentera bientôt une école culinaire est ici aux côtés de Joëlle, toujours souriante, du blog Nuage de lait et de mon amie Patricia du blog La Table de Pénélope.



Marc et Françoise du blog Saveurs croisées avec qui j'aurais aimé conversé plus lontemps. Mais ce n'est que partie remise!

Le cliqueur fou a enfin été débusqué! C'est maintenant à son tour de se faire photographier! Je vous le présente, c'est  Phil, le mari de Patricia. C'est un passionné de photo, il va sans dire!


Patricia et moi, heureuses de se retrouver au Salon de Soissons!

Merci au chef Damien et à toute son équipe pour ce merveilleux salon qui a fait bien des heureux!